Chaudes les vendanges.

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il y a 6 ans

Comme chaque année, Francine et Michel, propriétaire d’une parcelle viticole, se rendent à pôle emploi pour recruter de la main d’œuvre.

En effet, le couple, d’une quarantaine d’années, exploitent quelques vignes et la saison des vendanges approche.

Francine est une femme très ravissante, et les hommes ne s’y trompent pas. Surtout Guy, un voisin maraicher, qui n’hésite pas à la baiser deux à trois fois par semaine, et ce, à la barbe de son mari. Faut dire que Michel, n’a pas été aidé par la nature, qui la doté d’attributs en dessous de la moyenne.

Tout ça pour dire, que ce n’est pas un foudre de guerre au lit. Et Francine a besoin de sexe.

Bref, en épluchant la liste, ils se rendent compte qu’il reste pas mal d’étrangers. Portugais, espagnols, mais surtout maroquins. Leur choix s’arrête sur huit maroquins, quatre femmes et quatre hommes, spécialisés pour ce genre de travail. D’ailleurs, certain était là l’an dernier.

La première journée est consacrée au pot de bienvenu, autour d’un buffet. Puis vient le rangement de la remise qui leur sert de dortoir. Lors de la première journée, Francine, toujours aussi ravissante, sent le regard des jeunes maroquins se poser sur elle. Certains lui tournent autour, sans se soucier de la présence Michel.

Ce dernier est surpris quand sa femme accepte de monter dans leur charrette pour regagner la ferme. Michel, lui conduit la seconde, où sont installées les femmes.

Soudain, en regardant de plus près, il voit les ouvriers saisir Francine par les hanches, lui ôter le short, et la chemise. Francine se retrouve entièrement nue, allongée au fond de la charrette, offerte à leurs mains vicieuses.

Michel voit nettement leurs doigts branler la chatte, doigter le clitoris. Il l’entend même crier quand elle atteint l’orgasme. Il y en un qui se permet même de tomber à genoux, et enfoncer sa queue dans sa bouche. Francine ne repousse pas l’énorme bite, et se met à la sucer. Cinq minutes plus tard, Michel hurle quand il voit le jeune maroquin se vider les couilles dans la bouche de sa femme. Et le pire est à venir. Francine se lève, s’agenouille, et taille une pipe, tour à tour, aux trois autres ouvriers. Elle avale tout.

Voyant Michel désespéré, une jeune marocaine s’avance derrière lui, le prend par le cou.

-C’est rien mon brave, faut bien se distraire. Ta femme est tellement belle. Tu veux que je te caresse le zob ? Dit-elle en glissant une main dans son short.

-Laissez moi, répond sèchement Michel.

La chaleur est torride. Arrivés à la ferme, les ouvriers prennent le tuyau d’arrosage pour se rafraichir. Certains, prennent même leur douche.

Quand Francine revient avec les boisons, elle est de suite happée par deux jeunes maroquins, qui la tire sous la douche. Par dessus le chemisier trempé, on voit les formes superbes de ses seins. Pas pudique pour deux sous, Francine ôte le chemisier et le short. Elle se retrouve entièrement nue au milieu des ouvriers marocains, nus eux aussi. Ils la font tourner sur place, lui caressent les seins. Un d’eux l’attire contre lui, insère sa queue entre les cuisses. Elle caresse le gland décalotté, se penche, et l’enfonce dans sa chatte. Un autre profite de la position, passe devant pour se faire tailler une pipe. Francine avale goulument la queue.

De l’autre côté de la haie, le scénario est le même. Les jeunes marocaines dansent autour de Michel, le font tourner sur place. Ces jeunes coquines n’hésitent pas à lui pincer ses petites couilles, dès qu’elles le peuvent.

-Aie…ouille…ouille…

-Que t’arrive-t-il mon chéri, demande Francine.

-Si tu savais, elles n’arrêtent d’attraper mes œufs…si tu voyais comme elles ont décalotté mon fifre…ah…les salopes.

-Laisses toi faire mon chéri, amuses toi. Si tu voyais ce qu’ils me font à moi. J’ai une bite dans la chatte, une dans le cul, et même dans la bouche…c’est tellement bon de se faire prendre par des grosses queues. Tu devrais essayer.

Le soir, les ouvriers marocains invitent leurs employeurs à boire un coup dans la remise. Après quelques verres, la soirée tourne vite en orgie.

Francine est très sollicitée, mais certains marocains optent pour Michel. Pendant que son épouse s’adonne aux plaisirs lesbiens avec de jeunes marocaines, Michel est entrainé à l’écart, débarrassé de ses vêtements. Les ouvriers l’obligent à se mettre à quatre pattes, croupe bien cambrée. L’un d’eux tombe à genoux, lui doigte le petit trou, et le sodomise. Michel hurle de douleur quand l’énorme queue amorce de lents va et vient. Par contre, il ne dit rien quand le second lui enfonce sa bite dans sa bouche. Malgré lui, il se met à lui tailler une pipe.

Après l’avoir bien enculé, les ouvriers marocains, le libèrent enfin. C’est en marchant péniblement, les jambes arquées que Michel regagne sa chambre.

Francine n’a pas sommeil, elle en veut encore. Après s’être bien faites gouiner par les jeunes marocaines qui l’ont faites jouir à maintes reprises, elle rejoint les jeunes mâles. Ces derniers la roulent dans la paille, lui mettent les doigts dans la chatte ou ans le cul. Leur queue balance devant son visage. Elle en attrape une au hasard avec sa bouche, la suce, jusqu’à ce qu’elle crache son venin. Puis passe à une autre, qui subit le même sort, et ainsi de suite. A chaque fois, elle avale leur jus comme du petit lait.

Elle quitte la remise vers six heures du matin, après s’être fait bien donner toute la nuit, par ces jeunes marocains en chaleur. Elle ne sait pas combien de fois elle a atteint l’orgasme. Mais bon, quand on aime, on ne compte pas.

Elle rejoint son cher époux, le ventre bien rempli de sperme, mais épuisée. Aujourd’hui, c’est dimanche, donc repos…A moins que…

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